L’idéal serait d’opter pour des cosmétiques, des produits d’entretien et de bien-être labellisés écologiques ou bio. Mais en l’absence de label, il est possible de se référer aux compositions présentées sur l’emballage. Prendre soin de son visage et de sa peau, se détendre et s’occuper de sa maison, tels sont les devoirs de tout homme et femme qui se respecte. Pourtant, souvent, les produits qu’on utilise pour l’entretien, le bien-être et le cosmétique peuvent présenter des impacts nocifs sur la santé et l’environnement. Comment alors reconnaître les produits sains et respectueux de l’environnement ?
Privilégier les produits écologiques labellisés
Tout comme les VDI produits bio ou vendeurs à domicile Indépendants, on doit s’assurer que les produits d’entretien, de bien-être et cosmétiques qu’on va utiliser au quotidien soient respectueux de l’environnement et non nocifs pour la santé. A priori, le fait de présenter un label rassure l’origine d’un produit. En effet, les labels sont des gages d’une meilleure qualité environnementale. Ces labels sont attestés par des organismes de certification indépendante qui procèdent à des vérifications strictes et à des différents tests avant la certification d’une marque.
Chaque label écologique ou écolabel impose ses propres critères. Certains sont donc plus exigeants que d’autres, toutefois, ils vérifient trois principaux points en commun : les matières utilisées, les procédés de fabrication et les plus-values. Les matières utilisées pour la fabrication des types de produit d’entretien écologique doivent être respectueuses de la nature. Ce sont généralement des matières à ressources renouvelables comme les plantes ou les fleurs. Elles possèdent des propriétés absorbantes, hydratantes et sont efficaces pour leur usage. En ce qui concerne les procédés de fabrication, les fabricants doivent choisir des procédés d’extraction et de transformation douce pour conserver au mieux les propriétés naturelles de la matière. Les plus-values écologiques peuvent se reconnaître par des emballages recyclables ou une équité sociale.
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Se référer aux compositions des produits
Un produit d’entretien bio sans label n’est pas forcément un mauvais produit. Actuellement, de nombreux produits d’entretien biologiques sont excellents, mais ne possèdent pas de label. Il se pourrait que le fabricant ne dispose pas d’un budget suffisant pour obtenir la certification ou aussi que les produits ne répondent pas à tous les critères imposés par le label…
À défaut, on peut alors se référer aux compositions de ces produits. En premier lieu, il conviendrait de scruter l’emballage du produit et de se méfier du greenwashing. Sur le marché, de nombreux produits présentent une image écologique trompeuse avec des mentions du genre « aux extraits végétaux » ou des dessins de différentes fleurs qui ne garantissent rien.
Pour juger de la fiabilité écologique d’un produit, on doit jeter un œil à la liste des ingrédients qui le compose. Cette liste est mentionnée sur l’emballage dans laquelle tous les ingrédients sont cités par ordre en fonction de leurs teneurs. Il faut généralement s’intéresser aux 4 à 8 premiers composants présentés. Si dans la liste, on retrouve du paraben, de l’acrylamide, des composés d’aluminium, du formaldéhyde, du parfum ou du phénol, cela voudrait dire que le produit n’est pas écologique même s’il présente des images de fleurs alléchantes.
Éviter les produits conventionnels
A priori, tous les types de produit ménager bio suivent les réglementations européennes et subissent des évaluations avant commercialisation. On pourrait alors croire facilement qu’ils sont tous fiables à 100 %, surtout si le fabricant n’a pas hésité à rajouter la mention « produit écologique » sur l’emballage. Pourtant, il est bon à savoir que de nombreux composants sont peut-être autorisés, mais peuvent tout de même présenter des risques pour la santé et l’environnement.
On peut notamment trouver des résidus de pétrole, des métaux et des composants synthétiques dans ces produits qui circulent librement sur le marché. Il se pourrait aussi qu’un ingrédient accepté il y a de cela deux ans soit actuellement nocif à l’issue de nombreuses remarques faites par des utilisateurs du produit en question. Le plus fiable serait de se fier au label et aux ingrédients sur l’emballage.
